DT1 : Justification de l'utilisation du bois :

Le bois au cœur du développement durable

  • La communauté internationale a pris conscience du changement climatique provoqué par la consommation massive d'énergies fossiles. Le bois est un atout majeur dans la lutte contre l'effet de serre.

  • L'exploitation raisonnée des forêts, y compris pour l'énergie, contribue au renouvellement et à l'entretien des peuplements en massif ou linéaires, ce qui favorise la préservation des milieux naturels (protection contre le vent et l'érosion des sols, dépollution des eaux chargées de nitrates...), sans contrarier la biodiversité.

  • On ne dira également jamais assez que le bois est un combustible propre (sans chlore ni soufre), dont la combustion (lorsqu'elle est effectuée dans des équipements modernes et efficaces) rejette très peu de monoxyde de carbone, d'oxyde d'azote, de composés organiques volatils ou de poussières.

  • Face aux hydrocarbures liquides ou gazeux, si séduisants par leur simplicité d'utilisation, la biomasse forestière a donc des atouts environnementaux à faire valoir. En rappelant à ceux qui ont tendance à l'ignorer, que les commodités des premiers ont un prix qu'il faut (ou faudra) payer : du réchauffement du climat aux marées noires en passant par les pollutions urbaines.

Source : Extrait du Cahier du Bois Energie rédigé par le site Biomasse Normandie

L'ADEME pointe le feu de bois parmi les gros pourvoyeurs de polluants

  • Le feu de bois compte parmi les gros pourvoyeurs de polluants, en particulier de particules fines, l'un des principaux facteurs récurrents de pollution de l'air avec les oxydes d'azote.

  • C'est pourquoi les chaufferies biomasse de forte puissance sont systématiquement équipées de systèmes de traitements de fumées performants, ce qui n'est pas le cas des chaudières et foyers individuels.

Source : AFP (agence france presse) , juillet 2009.

Exemple de calcul « d'équivalent véhicules parcourant 15 000 km » pour les économies de CO2 routières en 2011

  • En 2011, les économies globales de CO2 sur le parc de véhicules vendu sont de 90 000 tonnes (en considérant un kilométrage annuel moyen de 15 000 km).

  • Le taux moyen annuel CO2 produit par un véhicule baisse encore cette année pour s'établir à 127g/km. Soit une économie équivalente à l'émission de CO2 annuelle de plus de 47 000 véhicules.

ImprimerImprimer